Des chercheurs peuvent maintenant estimer la masse d’une exoplanète juste en la regardant, ou plutôt en analysant la lumière passant à travers son atmosphère. Le principe de cette nouvelle technique se fonde sur le fait que les longueurs d’onde de la lumière sont affectées par la pression atmosphérique qui elle-même est liée à la masse de la planète. Cette technique sera utile aux astronomes afin de déterminer si une planète est gazeuse ou rocheuse, notamment quand les méthodes traditionnelles (tenant compte de la vitesse radiale) ne peuvent être utilisées.
Pour lire l’article publié le 19 décembre 2013 dans Science, cliquez ici.
Auteur à contacter pour plus d’informations
Julien de Wit du département des sciences de la terre, de l’atmosphère et des planètes du Massachusetts Institute of Technology