Alors que les articles scientifiques sont archivés dans des bases de données en ligne, les données brutes à l’origine de ces articles ne le sont pas. Des données brutes manquantes peuvent devenir un problème majeur lorsqu’un autre chercheur tente de reproduire les travaux d’un collègue. Une nouvelle étude montre qu’à chaque année, les chances de retrouver ces données brutes diminuent de 17%. Les auteurs estiment qu’il faudrait archiver en ligne les données brutes des recherches scientifiques.

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Timothy Vines du département de zoologie de l’Université de la Colombie-Britannique