Une nouvelle étude montre que le déclin des asclépiades, des plantes dont le nectar nourrit de nombreux papillons et insectes, aux États-Unis et au Canada serait un facteur crucial dans le déclin de la population de papillons monarques. (Crédit: William Warby, via flickr)

Une nouvelle étude montre que le déclin des asclépiades, des plantes dont le nectar nourrit de nombreux papillons et insectes, aux États-Unis et au Canada serait un facteur crucial dans le déclin de la population de papillons monarques. (Crédit: William Warby, via flickr)

Une nouvelle étude confirme que le déclin du nombre d’asclépiades sur les sites de reproduction estivale contribue au déclin des papillons monarques. Les asclépiades sont des plantes qui fournissent en nectar de nombreux insectes et papillons.

Des études précédentes avaient aussi montré du doigt la perte du couvert forestier au Mexique et les évènements météorologiques extrêmes causés par les changements climatiques.Toutefois, un nouveau modèle informatique sur la migration des papillons montre que ces deux facteurs ont moins d’importance sur le déclin des monarques que le déclin des asclépiades. Le modèle prédit que la population de monarques réduira de 14% d’ici la fin du siècle.

Pour lire l’article original publié dans Journal of Animal Ecology le 4 juin 2014cliquez ici.

Auteur à contacter pour plus d’informations

Ryan Norris, Université de Guelph, Ontario