Des chercheurs ont mesuré des quantités anormalement élevées (400 parties par billion) de chlore (Cl2) atmosphérique en Alaska. La présence de ce gaz est possiblement une conséquence de l’interaction entre les rayons du soleil et l’ozone au niveau du sol. Le chlore atmosphérique et ces composants dérivés peuvent avoir un effet important sur la chimie de l’atmosphère arctique.

Pour lire l’article original publié dans Nature Geoscience le 12 janvier 2014, cliquez ici.

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Sigrún Hreinsdóttir, Université d’Islande