Une nouvelle étude montre qu’une variation génétique commune chez 25% des Québécois réduit les risques de développer la maladie d’Alzheimer et retarde l’apparition des symptômes. Dans une étude menée sur 800 cerveaux de Québécois, des chercheurs ont trouvé que les hommes porteurs de ce gène ont 30% moins de risque de développer de l’Alzheimer, et les femmes, 50.
Même ceux, la présence du gène retarde l’apparition des symptômes de 4 ans.
Ce gène, HMG CoA réductase, est déjà associé à la production de cholestérol. Les auteurs de l’étude espèrent maintenant que les médicaments déjà sur le marché réduisant le cholestérol pourraient aider les patients atteints de la maladie qui ne sont pas porteurs du gène.
Pour lire l’article original publié dans Molecular Psychiatry le 15 juillet 2014, cliquez ici.
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