Des chercheurs ont développé un nouveau moyen pour encapsuler des enzymes et des réactifs chimiques dans une pilule ce qui permettrait entre autres de tester à faible coût la qualité de l’eau dans les pays en voie de développement. (Crédit : Matt Terry, Université McMaster)

Des chercheurs ont développé un nouveau moyen pour encapsuler des enzymes et des réactifs chimiques dans une pilule ce qui permettrait entre autres de tester à faible coût la qualité de l’eau dans les pays en voie de développement. (Crédit : Matt Terry, Université McMaster)

Prenez une tasse d’eau, déposez-y une pilule et agitez : si l’eau tourne mauve, votre eau est contaminée par des bactéries. Cette pilule est maintenant disponible grâce à une nouvelle méthode pour encapsuler des enzymes et des réactifs chimiques dans du pullulane, le matériel qui sert à faire des films comestibles destinés à rafraîchir l’haleine. Cette technologie pourrait permettre de détecter la présence de bactéries, de métaux ou d’autres contaminants dans l’eau dans les endroits où les laboratoires ne sont pas faciles d’accès, comme dans les pays en voie de développement.

Vidéo disponible ici.

Pour lire l’article original publié dans Angewandte Chemie le 24 Avril 2014cliquez ici.

Auteur à contacter pour plus d’informations

John Brennan, Université McMaster, Ontario

Carlos Filipe, Université McMaster, Ontario