Des chercheurs ont compilé la première base de données sur les sources d’eau en milieu urbain et concluent qu’une grande ville sur quatre dans le monde utilise 40% plus d’eau que ce qui est disponible.
Cette estimation est moins que les études précédentes, entre autres parce que la base de données tient compte des bassins hydrographiques plus éloignés des villes. Des villes comme Tokyo, Los Angeles et Beijing sont en situation de stress hydrique, mais pas Montréal ni Toronto.
Les chercheurs ont aussi remarqué que les villes plus riches sont capables de pomper de l’eau potable à de grandes distances. Par exemple, bien que les grandes villes n’occupent que 1% de la superficie de la surface terrestre, leur bassin hydrographique couvre 41% de cette même surface.
Pour lire l’article original publié dans Global Environmental Change le 2 juin 2014, cliquez ici.
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