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Des chercheurs ont développé une nouvelle méthode capable de détecter du xénon dans des échantillons de sang prélevés chez un athlète jusqu’à 24 heures après que les effets de la substance se fassent sentir. Pendant les jeux Olympiques d’hiver de Sotchi, des rumeurs circulaient comme quoi certains athlètes russes inhalaient du xénon, un gaz noble, qui peut stimuler la production d’érythropoïétine (EPO) et de testostérone. Le 18 mai dernier, l’Agence mondiale antidopage a ajouté le xénon à la liste de substance dopante interdite.

Pour lire l’article original publié dans Rapid Communications in Mass Spectrometry le 25 Mai 2014cliquez ici.

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Mario Thevis, Université du sport de Cologne, Germany