Une nouvelle étude montre que les populations de phoque commun et de phoque gris utilisent les parcs éoliens en mer et les pipelines sous-marins comme des récifs artificiels où ils peuvent aller s’alimenter.
Les phoques ont été suivis par géolocalisation GPS au large des côtes britanniques et néerlandaises. Les chercheurs ont remarqué qu’une minorité de phoques, pouvant atteindre 30% dans certaines populations, visitaient les parcs éoliens en mer. Ces structures agissent comme des récifs artificiels et attirent des proies du phoque.
Toutefois, les chercheurs n’excluent pas qu’au long terme les parcs éoliens puissent rendre certaines espèces mangées par les phoques plus vulnérables à des perturbations.
Pour lire l’article original publié dans Current Biology le 21 juillet 2014 cliquez ici.
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