Une nouvelle étude montre que les drones à la fine pointe de la technologie de la taille d’un oiseau-mouche comme le Black Hornet britannique sont aussi efficaces d’un point de vue aérodynamique les vrais oiseaux-mouches.
Bien que les ailes d’un oiseau-mouche vivant produisent plus de portance avec moins de traînées que les rotors artificiels, les auteurs de cette étude montrent que les petits drones artificiels n’ont jamais été aussi près de l’efficacité de ces petits oiseaux.
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Pour lire l’article original publié dans Journal of the Royal Society Interface le 29 juillet 2014, cliquez ici.
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