Des chercheurs ont analysé l’activité cérébrale de ces oiseaux et ont trouvé que les erreurs commises de manière aléatoire trouvent leur origine dans une partie du cerveau appelée les ganglions de la base. Ils estiment que ce comportement permet aux oiseaux d’apprendre plus rapidement en apprenant de leurs erreurs. (Crédit photo: Sarah Woolley)

Des chercheurs ont analysé l’activité cérébrale de ces oiseaux et ont trouvé que les erreurs commises de manière aléatoire trouvent leur origine dans une partie du cerveau appelée les ganglions de la base. Ils estiment que ce comportement permet aux oiseaux d’apprendre plus rapidement en apprenant de leurs erreurs. (Crédit photo: Sarah Woolley)

Quand des oiseaux chanteurs mâles chantent pour attirer les femelles, leurs notes sont parfaites, mais quand ils chantent en groupe, ils font des erreurs. Des chercheurs ont analysé l’activité cérébrale de ces oiseaux et ont trouvé que les erreurs commises de manière aléatoire trouvent leur origine dans une partie du cerveau appelée les ganglions de la base. Ils estiment que ce comportement permet aux oiseaux d’apprendre plus rapidement en apprenant de leurs erreurs. En comprenant les circuits neuronaux impliqués dans ce processus, les chercheurs espèrent comprendre certaines maladies comme la maladie de Parkinson.

Pour lire l’article original publié dans Neuron le 2 Avril 2014cliquez ici.

Auteur à contacter pour plus d’informations

Sarah Woolley, Université McGill, Quebec