Une nouvelle étude montre que les femmes enceintes à risque de développer des caillots sanguins qui s’injectent des anticoagulants ne réduisent pas les risques de complication de grossesse.
Les médecins prescrivent de manière courante des anticoagulants chez les femmes enceintes à risque, représentant environ 10% d’entre elles, depuis les années 1990.
Toutefois, aucun essai clinique randomisé à grande échelle n’a été mené pour démontrer l’utilité de cette pratique. Dans cette nouvelle étude, des chercheurs ont suivi 292 femmes pendant 12 ans et ont constaté qu’il n’y avait aucune différence entre les femmes traitées et le groupe contrôle.
Pour lire l’article original publié dans The Lancet le 24 juillet 2014, cliquez ici.
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