Une nouvelle étude sur les puces d’eau montre que le sexe a des bénéfices autant au court qu’au long terme.
La majorité des populations de puces d’eau n’engendrent que des femelles, mais certaines d’entre elles engendrent des mâles et des femelles. Les populations comptant les deux sexes et se reproduisant de manière sexuée ont une plus grande diversité génétique, mais les populations comptant uniquement des femelles produisent plus de descendants et devraient théoriquement surpasser en nombre les populations sexuées.
Toutefois, cette étude menée au cours des 18 dernières années montre que ce n’est pas le cas et conclut que d’autres facteurs comme la proportion d’oeufs conservés empêchent les populations asexuées de dominer complètement.
Pour lire l’article original publié dans Proceedings of the Royal Society B: Biological Sciences le 17 juin 2014, cliquez ici.
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