La guêpe parasitique Trichogramma euproctidis pond ses oeufs à l’intérieur de larve de pyrale, tuant ainsi la pyrale dans l’oeuf.  (Crédit : Université de Montréal)

La guêpe parasitique Trichogramma euproctidis pond ses oeufs à l’intérieur de larve de pyrale, tuant ainsi la pyrale dans l’oeuf. (Crédit : Université de Montréal)

Les évènements climatiques extrêmes pourraient influencer la proportion entre les sexes d’un parasite qui s’attaque à la pyrale du maïs, un ravageur qui s’attaque aux récoltes du Québec.

La guêpe parasitique Trichogramma euproctidis pond ses oeufs à l’intérieur de larve de pyrale, tuant ainsi la pyrale dans l’oeuf. Une nouvelle étude montre que moins de femelles naissent à de faibles températures (14°C) et à de hautes températures (34°C). Puisque les femelles vivent plus longtemps et peuvent pondre des oeufs sans être fertilisées, les températures extrêmes pourraient avoir un impact négatif sur ces guêpes, ce qui faciliterait la vie de la pyrale du maïs.

Pour lire l’article original publié dans Animal Behaviour le 21 Mai 2014cliquez ici.

Auteur à contacter pour plus d’informations

Joffrey Moiroux, Université de Montréal, Quebec