
Le jeu de l’ultimatum met en situation une première personne avec une somme d’argent de départ qui doit décider quelle part elle garde pour elle et quelle part elle attribue à une seconde personne. La seconde personne doit alors décider si elle accepte ou refuse l’offre. Si elle la refuse, aucun des deux individus ne reçoit d’argent. (Crédit: Rick, via flickr)
Une nouvelle étude montre que notre désir d’équité n’est pas altruiste en soi, mais vient plutôt de notre tendance à prévenir que des compétiteurs proches de nous aient un avantage. Des chercheurs ont utilisé une variante du jeu de l’ultimatum et ont montré que les participants avaient moins tendance à accepter une offre inéquitable quand ils percevaient leur adversaire comme un compétiteur direct.
Pour lire l’article original publié dans Biology Letter le 20 Mai 2014, cliquez ici.
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