Des singes sauvages japonais vivant dans une forêt à 70 km de la centrale nucléaire de Fukushima ont un nombre réduit de globules blancs et rouges révèlent une nouvelle étude.
Les auteurs ont aussi remarqué que les niveaux de césium radioactif dans les muscles des singes étaient liés à la contamination des sols dans leur habitat.
Bien qu’un nombre réduit de globules blancs et rouges dans le sang n’implique pas que les singes sont en danger de mort, les auteurs demandent à ce qu’une étude à long terme soit menée sur la santé des singes près de Fukushima.
Pour lire l’article original publié dans Scientific Reports le 24 juillet 2014, cliquez ici.
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