
Des chercheurs de l’Université Simon Fraser ont montré que l’électro-encélographie peut être utilisé pour étudier les circuits neuronaux qui nous permettent de rester concentrer sur une tâche. (Crédit photo : Université Simon Fraser)
Lorsque nous suivons du regard une source de distraction, des circuits neuronaux dans notre cerveau s’activent et ceux-ci peuvent être détectés avec de l’électro-encélographie (EEG). Des chercheurs viennent de montrer qu’il existe un processus neuronal avec l’effet opposé qui s’active lorsque nous tentons de rester concentrés. Les résultats de cette étude pourraient servir à lutter contre la distraction au volant et ouvrent la porte à de nouvelles recherches dans le domaine du déficit de l’attention.
Pour lire l’article original publié dans Journal of Neuroscience le 16 Avril 2014, cliquez ici.
Auteur à contacter pour plus d’informations