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Les adolescentes ayant reçu le vaccin contre le virus du papillon humain (VPH) ne semblent pas adopter des comportenents sexuels à risque. Certains craignaient que cette campagne de vaccination puisse inciter les adolescentes à moins se protéger. Des chercheurs ont suivi plus de 260 000 filles en Ontario, dont plus de 125 000 d’entre elles ont reçu le vaccin en 2e secondaire lors d’une campagne provinciale.

Les auteurs n’ont trouvé aucun signe que les filles ayant reçu le vaccin ont adopté des comportements sexuels à risque (grossesse et infections transmises sexuellement) dans les années qui ont suivi.

Pour lire l’article original publié dans CMAJ le 8 décembre 2014cliquez ici.

Auteur à contacter pour plus d’information

Linda E Lévesque, Queen’s University, Ontario

Jay S. Kaufman, McGill University, Quebec