Georgia Tech graduate student Jin Liao calibrates insrument in Barrow, Alaska. (Credit: Greg Huey)

Étudiant des cycles supérieurs de l’Université Georgia Tech, Jin Liao, calibre un instrument à Barrow en Alaska. (Crédit : Greg Huey)

Des chercheurs ont mesuré des quantités anormalement élevées (400 parties par billion) de chlore (Cl2) atmosphérique en Alaska. La présence de ce gaz est possiblement une conséquence de l’interaction entre les rayons du soleil et l’ozone au niveau du sol. Le chlore atmosphérique et ces composants dérivés peuvent avoir un effet important sur la chimie de l’atmosphère arctique.

Pour lire l’article original publié dans Nature Geoscience le 12 janvier 2014, cliquez ici.

Auteurs à contacter pour plus d’informations

Greg Huey (auteur principal) Georgia Institute of Technology

Ralf Staebler (auteur collaborateur), Environment Canada