Bien que les loups de la Colombie-Britannique peuvent nager facilement pour atteindre les côtières, les premières nations et les chercheurs s’entendent maintenant pour dire que les loups des côtes se reproduisent rarement avec ceux du continent. Les loups des côtes (ci-dessus) ont un mode de vie différent qui comprend une alimentation riche en poisson. (Crédit: Chris Darimont)

Bien que les loups de la Colombie-Britannique peuvent nager facilement pour atteindre les côtières, les premières nations et les chercheurs s’entendent maintenant pour dire que les loups des côtes se reproduisent rarement avec ceux du continent. Les loups des côtes (ci-dessus) ont un mode de vie différent qui comprend une alimentation riche en poisson. (Crédit: Chris Darimont)

Une étude génétique vient confirmer ce que les Heiltsuk savaient depuis longtemps : les loups vivant sur les îles côtières de la Colombie-Britannique sont distincts des loups vivant sur la terre ferme.

Des recherches précédentes avaient déjà déterminé que les loups des côtes avaient une alimentation riche en poisson, contrairement à son cousin dans les terres, et qu’ils ne partagent pas les mêmes parasites.

Pour lire l’article original publié dans BMC Ecology le 9 juin 2014cliquez ici.

Auteur à contacter pour plus d’informations

Chris Darimont, Université de Victoria, British Columbia