Le point quantique ci-dessus est une nanoparticule faite à partir d’un semiconducteur. Les atomes de plomb (en gris) et de soufre (en jaune) sont vulnérables à l’attaque de l’oxygène (en rouge) dans l’air. Une nouvelle étude montre comment ajouter une couche protectrice faite à partir d’atomes de chlore et de fluor (en vert) capable de résister à l’oxygène et permet d’utiliser de manière plus efficace ces points quantiques dans des piles photovoltaïques. (Crédit : Zhijun Ning et Oleksandr Voznyy)

Le point quantique ci-dessus est une nanoparticule faite à partir d’un semiconducteur. Les atomes de plomb (en gris) et de soufre (en jaune) sont vulnérables à l’attaque de l’oxygène (en rouge) dans l’air. Une nouvelle étude montre comment ajouter une couche protectrice faite à partir d’atomes de chlore et de fluor (en vert) capable de résister à l’oxygène et permet d’utiliser de manière plus efficace ces points quantiques dans des piles photovoltaïques. (Crédit : Zhijun Ning et Oleksandr Voznyy)

Des chercheurs ont créé une nouvelle sorte de nanoparticules capable de réduire le coût de fabrication tout en augmentant l’efficacité des piles photovoltaïques.

Ils ont construit une pile solaire faite de points quantiques à l’aide de nanoparticules semiconductrices. Ces points quantiques peuvent être incorporés dans l’encre d’imprimante ordinaire et imprimer à faible coût des piles photovoltaïques. Tout comme les piles solaires traditionnelles, ces nouvelles piles utilisent deux types de matériaux semiconducteurs.

Le premier est appelé « riche en électrons » (ou dopage N) et le second est appelé « pauvre en électrons » (ou dopage P). Bien que les points quantiques pauvres en électrons sont relativement faciles à construire, ceux riches en électrons deviennent pauvres en électrons au contact de l’oxygène dans l’air.

Dans cette étude, les auteurs expliquent comment construire des nanoparticules capables de résister à l’oxydation de l’air et proposent un nouveau type de pile photovoltaïque à base de points quantiques.

Pour lire l’article original publié dans Nature Materials le 8 juin 2014cliquez ici.

Auteur à contacter pour plus d’informations

Edward Sargent, Université de Toronto, Ontario